Where are you? => In Nobody Land

Vous ne trouverez en ce lieu que délires et idées sensées, à vous de faire le tri.
Croire que vous sortirez d’ici enrichis n’est pas une erreur hors matériellement parlant
Vous êtes dans un morceau d’éternité dédié à ce que nous sommes
: RIEN

Ici veut se reposer the Men at Work

Vous qui passez pour me voir
Ou
Peut être me dire bonsoir
Ou
Bonjour même le soir

Je me ferai un devoir
A
Répondre sans sursoir
A
Votre quête du Savoir

Qui suis-je?.........................................Moi
D'où vient le vent?.............................Ca dépend
Qui a-t-il après l'infini?.....................Rien
Qui a-t-il eu avant le Big Bang?.......Nous

vendredi 30 décembre 2022

Réflexions

Plus une denrée devient rare, plus les prix au détail augmentent avec des profits qui explosent puisque les surcoûts sont répercutés et les marges recalculées et ceci malgré le cinéma que l’on nous fait sur ces « pauvres » industriels et chaines de distribution qui rognent soi-disant sur leurs marges ; donc quel intérêt auraient les industriels de tous bords d’augmenter la production (et donc de devoir embaucher, voire construire de nouveaux sites). Il est plus rentable de faire tourner en rond un supertanker, venant de pays producteurs à bas coût, dans l’océan que de devoir en affréter un autre pour mettre à disposition plus de produit. Le tout étant de trouver le bon équilibre entre un profit maximal et la perte de part de marchés. Le consommateur dans tout cela ne pèse pas lourd.

De toute façon le « consommateur » ne songe lui, qu’au fait qu’il ne va plus pouvoir « consommer » pas cher.

La guerre a bon dos.

*C’est fou le nombre de produits dont nous nous sommes découverts dépendants de l’Ukraine et de la Russie.

*La famine ravage de plus en plus les pays « en voie de développement » ?

C’est la faute à la guerre s’empressent de dire les pays qui ont imposé leur diktat en empêchant de continuer à exploiter les cultures vivrières afin de faire cultiver de quoi exporter vers des pays dits « développés » le tout sous couvert d’un FMI plus enclin à calculer les profits qu’à aider à l’auto développement et encore moins à l’autosuffisance.

*A se demander quelle est la guerre qui fait le plus de ravages.

Je me pose la question : Donner de l’argent à un pays en guerre afin qu’il nous achète des armes ne ressemble-t-il pas beaucoup au fait de subventionner les industries d’armement ? Je dis cela, je dis rien, car cela a en plus un autre effet bénéfique qui est de pouvoir tester en conditions réelles les nouveaux modèles sans avoir à finaliser tous les essais avant livraison. Lé pô belle la vie ? (La mort aussi ? Oui, mais du coup pas chez nous.)

On ne parle plus que de cela : Réchauffement climatique ; mais que fait-on vraiment ? En tout cas rien qui risque d’amoindrir les profits à courts termes.

Demain étant un autre jour comme dit la sagesse populaire.

 


Au fait si vous recherchez des costumes comme le mien, ne vous inquiétez pas ils vous seront bientôt fournis gratuitement.



2 commentaires:

  1. Nous faisons tous le même constat. D'ailleurs, l'Ukraine savait-elle, qu'elle nourrissait le monde à elle seule ? Ce n'est pas ça qui va leur donner de la modestie.
    Bref, force est de reconnaître qu'on nous prend pour des cons. Mais le pire, nous sommes cons. La panique engendrée par l'annonce de présumées pénuries est hallucinante. Personne ne s'est demandé par quoi remplacer ce qui manquerait. Après tout l'huile de tournesol n'est pas la seule source de matière grasse. Non tout le monde a stocké en masse.
    Nous savons pourtant tous, que c'est de l'esbrouffe. La preuve, aujourd'hui tous les supermarchés proposent de nouveau de la moutarde et de l'huile de tournesol. Pourtant la guerre n'a pas cessé. Et à côté on continue d'acheter des cerises, des fraises et de des framboises d'Argentine en plein hiver. Bon aucun rapport avec le sujet mais j'avais envie de placer ce truc qui m'énerve. Bref on marche sur la tête.
    La crise des pellets, on en parle ? Des sacs valant moins de 4 euros, valent aujourd'hui près de 10€. Là encore les gens se précipitent et stockent alors que les entrepôts sont pleins. On créé l'illusion d'un manque et la panique s'installe faisant perdre tout bon sens.
    Bref on nous roule avec notre pleine coopération.
    Et si on cessait d'acheter (avec le stock que les français ont fait des pâtes, huile, pq, ils ont de la marge), je gage que les rayons crouleraient sous les produits et que les prix baisseraient.
    Quant à nos gouvernants, complices, ils sont en train de démanteler l'économie. On distribue quelques primes de chauffage, d'essence, ça et là mais on fait peser le prix de l'énergie sur des artisans qui vont mettre la clé sous la porte.
    Rien n'est construit dans ma réponse mais il y a tellement à dire sur la façon dont fonctionne le monde, sur la façon dont on opprime économiquement les plus pauvres mais aussi sur notre propre imbécillité.
    J'oscille entre la colère, le dépit, le découragement... et l'incompréhension. Bref l'année se termine en eau de boudin et la nouvelle se mord déjà la queue.
    Bonne fin d'année à toi, Nonoss malgré tout

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Waouh! T'es comme moi, tu en as gros sur la patate du foutage de gueule généralisé dont une population abreuvée aux séries télés et aux "infox" médiatiques ne comprend même plus qu'on la prend pour ce qu'elle est devenue à force apathie et d'égoïsme..
      Bon ce soir à toi aussi, je te fais confiance pour consommer "local" et bon

      Supprimer