Where are you? => In Nobody Land

Vous ne trouverez en ce lieu que délires et idées sensées, à vous de faire le tri.
Croire que vous sortirez d’ici enrichis n’est pas une erreur hors matériellement parlant
Vous êtes dans un morceau d’éternité dédié à ce que nous sommes
: RIEN

Ici veut se reposer the Men at Work

Vous qui passez pour me voir
Ou
Peut être me dire bonsoir
Ou
Bonjour même le soir

Je me ferai un devoir
A
Répondre sans sursoir
A
Votre quête du Savoir

Qui suis-je?.........................................Moi
D'où vient le vent?.............................Ca dépend
Qui a-t-il après l'infini?.....................Rien
Qui a-t-il eu avant le Big Bang?.......Nous

lundi 28 novembre 2016

Demain, on arrête de raser gratis

A toutes celles et ceux qui voulaient se réfugier dans les Juppé de leur maire et qui l’ont aujourd’hui dans le Fillon, j’envoie ce message d’espoir.

Ils ont déjà évité que le gagnant de cette joute, toute oratoire, ait un score de 66.6% qui aurait été diablement prémonitoire, voire de 69% qui aurait pu donner de vilaines idées.

Aujourd’hui la France a révélé son vrai visage : sérieux, les sourcils froncés mais avec ce petit sourire au coin des lèvres qui souligne le fait que ce que nous croyons être notre demain est encore loin de ce qui nous attend.

Tous ensembles interprétons cette nouvelle Marseillaise :
Aux larmes Citoyens
Mangez vos sabayons
Pleurez, trimez !
Qu’un espoir dure
Qu’il reste des quignons.

Naaannnnn ! Je riGaule !
Soyons juste ; une fois disparu un certain petit nerveux, on avait d’un côté des promesses de lendemains égalitaires que l’on savait irréalisables et de l’autre des coups de pieds au derrière qui sont certainement indispensables. (Même si tout à fait irréalisables dans leur intégralité du fait d’un phénomène physique incontournable : la force de l’inertie)

Il faut faire bouger les lignes disait il y a peu le nouveau chantre de la DROITE (et du centre), malmenant l’idée d’un certain Baudelaire dans son poème La Beauté : « Je hais le mouvement qui déplace les lignes » tout en appliquant tous les jours le vers suivant : « Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris »

Tremblez Français installés dans votre confort, vos prérogatives, tout accaparés à défendre vos « prés carrés » car Droppy est arrivé et sa grande joie (toute intérieure et en retenue) est de promettre de redonner une certaine grandeur à un pays tellement gangrené par de petits arrangement entre amis que l’on nomme non pas corruption, c’est bon pour les autres pays, mais clientélisme pour faire plus proche d’un peuple qui dort et qui aime être caressé dans le sens du poil que le nouveau Général (il se réfère tant à l’ancien) a fort dru au demeurant juste au-dessus d’un regard qui se veut acéré pour bien montrer qu’il n’aura pas peur de couper ces fils dans lesquels certains se complaisent pour dire que ce qu’ils font n’est pas de leur faute mais qu’ils sont guidés par une main (divine ?) au service de la population. (Ce n’est pas bien dit ça ?)

Allez un petit dernier pour la route, qui va bien vous pourrir votre journée en tournant en boucle dans votre tête (Si ! Vous savez, ce truc au-dessus de vos larges épaules qui n'est pas fait que pour vous regarder dans un miroir)
Au pays de Flamby
Comme dans tous les pays
On se droitise, de peur on crie
Il y a les méchants et les gentils

Et pour élire nos chers édiles
Avoir l’espoir est très utile
Car dans notre poche ils ont tout pris
Au pays de Flamby

Préparons-nous, car bientôt nous entendrons :
Le roi est mort
Son successeur est appelé à régner
Araignée, araignée !
Quel drôle de nom
Pourquoi pas Droppy

Ou même Fillon

dimanche 26 juin 2016

L’art de la confusion

Nous sommes dans une société dirigée par des illusionnistes.

Nous n’avons (le plus souvent) du monde que l’image véhiculée par les médias et qui représente Leur interprétation de faits ou de dires, eux-mêmes causés par d’obscures motifs souvent personnels que l’on souhaite voir repris par des populations à qui on a appris plus à écouter (sans chercher à comprendre) qu’à réfléchir.

Dans ce théâtre à ciel ouvert, l’art de la rhétorique est devenu une arme de guerre pouvant causer plus de dégâts qu’une bombe. Un peu comme le Putaing, con qui sentent bon la Méditerranée, la bombe ou la fusillade ne seront que la ponctuation d’un discours et un moyen de capter à nouveau l’attention.

Attention à tous les discours qui se disent basés sur l’histoire. Rappelons-nous toujours qu’un fait historique n’a de sens que dans son contexte et que son extrapolation pour servir d’exemple en d’autres lieux et temps ne devient qu’un emballage destiné à cacher le contenu.

Préférons toujours un discours simple, comme celui de Pierre Rabhi, s’adressant à nous et nous concernant pour chercher à résoudre nos problèmes ou pour mettre en lumière nos possibilités de vie plutôt qu’un discours alambiqué sous forme de rhétorique n’ayant de sens et de nécessité que pour celui ou celle qui le prononce avec des buts purement personnels (là je ne donne pas d’exemple car ce serait trop long).

Pour ma part, si j’aime entretenir parfois la confusion c’est plutôt pour amener des questions permettant de lancer des discussions et donc d’humaniser des relations qui ne doivent pas en rester à : Moi écrire, Toi lire, Point

Si la politique attire de moins en moins les jeunes (et les moins jeunes) c’est que son discours tourne en rond et n’a plus rien de constructif. Vouloir suivre une campagne électorale donne l’impression d’être plongé dans le film « Un jour sans fin » tant les visages et les propos sont les mêmes sous des accents empruntés à la rue afin de faire « à l’écoute ».

De tout ce fatras émerge des populismes qui avec un discours simple, voire simpliste, savent faire oublier à la population de réfléchir au fait que s’ils ont la liberté de choisir cette voie c’est parce qu’elle n’est pas au pouvoir comme pensée unique.

Rappelez-vous bien cette dernière phrase quand ce que vous entendrez correspondra trop à ce que vous souhaitez entendre et prêtez alors attention aux regards, petits mots, et autres mimiques de celles et ceux qui les prononcent ; cela est souvent plus éloquent qu’un long discours.

Et surtout, INFORMEZ-VOUS par divers canaux.

Il y a toujours à apprendre, même d’idées opposées aux nôtres car le conservatisme créé l’immobiliste qui ne peut qu’entrainer la chute.
Pensée du jour : Quand quelqu’un te parle en te regardant droit dans les yeux, pense à observer également ses mains.

jeudi 10 mars 2016

Pourquoi un squelette nommé Skelethor ?

  Que voilà donc une question qui vous taraude, aussi je m’en vais vous conter le pourquoi du comment de la chose.

  J’ai commencé mes premières déambulations sur la toile avec un acronyme de « cpocc » que j’ai gardé dans une de mes adresses mails et qui a donné bien des soucis à celles et ceux qui en cherchaient la signification, d’autant que dans un village Francophone sur la toile, je me présentais sous la forme d’un fantôme.

  Pour l’acronyme je laisse chercher celles et ceux qui n’en connaissent pas encore la signification, mais la représentation en fantôme était, pour moi, claire. Je marquais par ce fait mon acceptation d’être sous cette forme dans un monde virtuel où mon image réelle n’avait pas lieu d’être. Petit principe de base que j’inculque aux personnes venant à mes cours d’initiation à l’informatique. La Toile n’est pas la réalité et l’on ne doit donc pas y mélanger Notre vraie vie.

  Par la suite, dans un désir de donner un corps à cette réalité virtuelle envahissant de plus en plus notre quotidien, et surtout quand j’ai créé ce blog, j’ai cherché une représentation montrant bien cependant qu’il est nécessaire de faire une césure entre le monde réel et ce lieu.

  Je me suis rappelé alors cette idée qu’un jour un homme rêva qu’il était un papillon qui lui-même rêva qu’il était un homme et qu’il ne put plus à ce moment-là savoir dans quelle réalité il se trouvait.

  Sur ce principe je me rappelais aussi une discussion où je disais que mon souhait (on a le droit de rêver) était de mourir en dormant.
  
  Prolongeant cette logique je me dis (je suis mon meilleur auditeur) que de fait j’allais me réveiller mort, ayant croisé au cours de la nuit Dame Camarde qui avait souscrit à ma requête et était donc devenue une amie. (Ben oui, on a les amis que l’on peut).
  
  L’idée me plut et comme je pouvais être mort dans cette réalité virtuelle, je m’imaginais en squelette déambulant dans un monde qu’il pouvait alors observer d’un œil plus critique, détaché des contingences de la vie.
  
  Et voilà il me fallait alors trouver un Avatar me plaisant et à priori l’idée est répandue, car il y en a un florilège sur la toile.

  Restait à me trouver un nom.

  Je ne suis pas allé chercher loin vu ma représentation. Le seul point qui me gênait était le sens commun de la chose et comme je comptais bien égratigner tous ceux qui me faisaient suer dans ma vraie vie, l’idée de m’accaparer un marteau pour taper sur la tronche de certains me fit changer la terminaison de mon nom. De Squeletor en Skeletor (moins Franco-Français), puis Skelethor.
Et comme je dis souvent, je tiens à La hache.


  Voilou ! Vous savez tout et vous pouvez vous rendormir sur vos deux oreilles en songeant aux derniers rêves que vous avez faits pour essayer de savoir dans quelle réalité vous pourriez vous trouver.
En plus cette démarche chaloupée me va si bien !
Dormez braves gens, je ne fais que passer (Comme vous, mais moi j’en ai pris conscience)