Il en est de l’espace-temps
comme du temps de l’espace, car si le premier s’occupe de nous situer à une
période donnée, le second nous situe lors d’un épisode climatique à un endroit
donné.
Vous suivez ?
On peut donc dire que les deux
notions sont nécessaires à notre existence
et que nous ne sommes rien si nous ne pouvons nous situer à tout moment
dans ces deux locutions qui donnent des temps pour tous même si tous n’ont pas
le même temps, ni l’impression de vivre en même temps. Comment le
pourraient-ils si l’image de la terre à un laps de temps donné comporte
cependant 24h et que la planète bleue en passe cependant par toutes les
couleurs du temps.
Vous suivez toujours ?
Il est donc temps de voir si le
temps à une influence sur l’écoulement du temps.
Ne dit-on pas que sous un temps
gris le temps nous semble interminable alors qu’un temps ensoleillé nous fait
paraître le temps d’en profiter beaucoup trop court ?
Et pourtant le temps de clarté
en été est plus long que sous le temps maussade d’hivers !
Tout est donc bien relatif comme
disait Einstein en son temps qui consacra une bonne partie du sien à en
déterminer le modèle mathématique sans s’occuper d’une quelconque relation avec
le temps qu’il faisait à ce moment-là.
Une petite pause ?
Et bien non car je n’ai pas le
temps, voulant profiter moi aussi du beau temps qu’il fait pendant qu’il en est
encore temps et avant qu’il ne lui prenne l’envie de passer son temps à être
maussade.
Mais qu’en est-il alors du temps
du verbe alors que si l’on en croit la Bible, « Au commencement était le
Verbe », ce qui laisse entendre que le verbe était là avant même que l’on
ait une notion du temps et donc que le temps n’était ni beau ni mauvais puisque
n’existant pas.
A quoi nous sert-il alors de
vouloir situer celui-ci au présent, passé voire futur alors qu’Il est, un point
c’est tout…
Mais je m’égare car je ne suis
point ici pour vous parler du verbe mais du temps, surtout si le temps m’enclin
à sortir profiter du temps présent en ne sachant pas ce que le temps futur nous
réserve comme temps.
Il reste quelqu’un ?
Juste un aparté pour préciser
que lors d’une tempête, ce n’est pas parce qu'on a du vent que le temps
pète (Quoique !)…
Je vais à présent vous laisser vaquer
à des occupations qui vous laisseront un temps, que je vous souhaite long, de
profiter d’un temps, que je vous souhaite beau.
Qui a dit « Il était
temps ! » ?
Une prochaine fois je prendrai
le temps de vous parler de la relativité du temps qui s’il est beau pour les
uns peut être mauvais pour les autres car là aussi tout est relatif…
J’espère que le temps vous
laissera encore le temps de m’en consacrer un petit peu dans cet espace à l’écart de
l’un et de l’autre temps.
Arf le temps ensoleillé t'aurait-il chauffé l'esprit ? J'ai pris le temps de te lire, il m'en aura fallu du temps pour comprendre mais cette histoire d'homonymie est pleine d'embrouillaminis.
RépondreSupprimerLe temps qui s'enfuit, qui nous glisse entre les doigts peut-il se rattraper ? Imagine que l'image de nos étoiles est déjà une image du passé. Si on avait le pouvoir de la rejoindre d'un saut de puce, nous ferions un saut dans le temps au sens littéral. Faire se rejoindre hier et aujourd'hui, peut être même devancer pour apercevoir un avenir que nous pourrions changer en faisant ce saut à l'envers...
Le temps qui passe, est une succession de beau et de mauvais temps. Un laps de temps qu'une micro seconde, voire même pas, à l'échelle de l'espace temps. Le temps de le dire et pfuit, il est parti.
Le temps presse... ne laissons pas s'enfuir le temps d'aimer, c'est tout ce qui compte dans le temps d'une vie.
La notion du temps: tout un programme...
SupprimerTout ce qui nous entoure et dont l'image nous parvient est déjà l'image d'un passé plus ou moins lointain suivant la distance qui nous sépare.
C'est surtout terrible le matin quand on se trouve vieux dans le miroir alors que l'on est déjà plus vieux que l'image qui nous stresse qui a elle déjà franchi 2 fois la distance qui nous sépare de notre reflet.
Affreux! Affreux! Affreux!