On nait tous quelque part comme disait l’autre.
Le problème est que cela conditionne toute notre existence.
Si l’on ne peut pas dire "Dit moi où tu es né et je te dirai qui tu es" on peut cependant laisser entendre "Dit moi où tu es né et je te dirai ce que tu peux espérer avoir".
Cela ne veut pas dire que tu l’auras mais contrairement à d’autres tu as ta chance.
Né dans un pays nanti tu pourras espérer un travail valorisant et une famille prospère et souvent peu nombreuse (il est vrai que plus tu naitras dans une famille nantie à la base et plus cela aidera).
Né dans un pays pauvre tu devras cravacher dur pour déjà espérer survivre avec souvent un petit boulot et une famille inversement proportionnelle à ton pouvoir d’achat. (Si en plus tu fais parti d’une caste inférieure ou d’une ethnie perdue au fin fond de la pampa et bien là on ne te reconnaitra même pas le titre d’individu).
Comme on le voit normalement la patrie prime donc sur le travail qui conditionne lui la famille.
Mais on peut le faire occasionnellement en débutant par la famille qui prime sur le pays où elle souhaite résider et le travail qu’elle veut bien faire. (Mais c’est beaucoup plus rare)
Enfin, et malheureusement d’une manière de plus en plus courante, on trouve le travail qui prime sur une famille que l’on construit dans un pays qui nous importe peu.
Nos liens tissés au sein de l'une et sur le sol de l’autre se faisant de plus en plus ténus car il n’existe plus qu’une chose importante, NOUS.
Le problème est que cela conditionne toute notre existence.
Si l’on ne peut pas dire "Dit moi où tu es né et je te dirai qui tu es" on peut cependant laisser entendre "Dit moi où tu es né et je te dirai ce que tu peux espérer avoir".
Cela ne veut pas dire que tu l’auras mais contrairement à d’autres tu as ta chance.
Né dans un pays nanti tu pourras espérer un travail valorisant et une famille prospère et souvent peu nombreuse (il est vrai que plus tu naitras dans une famille nantie à la base et plus cela aidera).
Né dans un pays pauvre tu devras cravacher dur pour déjà espérer survivre avec souvent un petit boulot et une famille inversement proportionnelle à ton pouvoir d’achat. (Si en plus tu fais parti d’une caste inférieure ou d’une ethnie perdue au fin fond de la pampa et bien là on ne te reconnaitra même pas le titre d’individu).
Comme on le voit normalement la patrie prime donc sur le travail qui conditionne lui la famille.
Mais on peut le faire occasionnellement en débutant par la famille qui prime sur le pays où elle souhaite résider et le travail qu’elle veut bien faire. (Mais c’est beaucoup plus rare)
Enfin, et malheureusement d’une manière de plus en plus courante, on trouve le travail qui prime sur une famille que l’on construit dans un pays qui nous importe peu.
Nos liens tissés au sein de l'une et sur le sol de l’autre se faisant de plus en plus ténus car il n’existe plus qu’une chose importante, NOUS.
De nos c'est la loi de l'égoïsme, du chacun pour soi. Les liens tissés ne deviennent ténus que si on le veut bien......
RépondreSupprimerJe ne dirai que cela, avec tes ceci prime sur cela etc etc prime, prime, prime Skeletor....J'en ai perdu mon latin pour le coup et je n'ai retenu que cela arff!!!!
Bisous, bisous
Clair que ce n'est pas evident a suivre surtout la fin !!
RépondreSupprimerJe repasserrai egalement plus tard une fois mieux reveilee !
Meme si je ne pense pas forcement comprendre mieux !!
Je suis d'accord avec les 2 posts précédent. Il n'y a rien de clair dans cette devise dont "ON" a rabattu les oreilles de nos anciens du temps de fabricants de pastilles installés à Vichy.
RépondreSupprimerBon j'espère que des croix enflammées ne vont pas etre déposées sur mon pauvre blog pour me crucifier.
Je n'ai meme pas 2 francs de 1943 à donner aux membres d'un quelconque Parti Social.
Quand au reste, je persiste et je signe et tant pi si cela donne mal à la tete.
@+
Skeletor
Lol merci NaM cela me rassure de voir que je ne suis pas la seule à avoir du mal à suivre ce sacré Skeletor...De plus je constate qu'il reconnait lui même que c'est pas clair tout ça lol !! bon ben persiste et signe et t'inquiète pas personne ne déposera des croix enflammées sur ton pauvre blog!! quoi que... ;-)
RépondreSupprimerBisous
Mais Noooooooooooonnnnnnnnnnnnnnn!
RépondreSupprimerJe n'ai pas dit que le message n'était pas clair, j'ai dit que le thème ne l'était pas dans la période où il a été créé et pour la suite que certains partis lui on donné.
Pour le reste, c'est comme dab, tu trouve le bout de fil qui dépasse de la pelote et tu tires.
@+
Skeletor
Ne t'énerve paaassssssssss !!Skeletor mais ou est passé ton sens de l'humour ;-). Je sais bien que tu parlais du thème non mais tu me prends pour qui...Ceci dit humm il n'empêche c'est pas clair mdrr!!! J'ai tenu le bout du fil de la pelote l'ai tiré et ben.....comme tu dis, c'est comme d'hab.
RépondreSupprimerBisous bisous
mdr fight !
RépondreSupprimerLol oui comme tu dis ma fille !!
RépondreSupprimerSkeletor zen!
RépondreSupprimerComment un squelette pourrait-il s'énerver? L'a plus de nerfs.
Par contre si tu as trouvé le bout de fil, tu serais bien gentille de me le rendre, déjà que je n'ai meme plus la peau sur les os. (virtuellement malheureusement s'entend)
@+
Skeletor
Lol !! toi alors....Je vais y réfléchir.
RépondreSupprimerBisous
RépondreSupprimertravail, famille, patrie.... la devise de Vichy est devenue travail, famille, party à l'ère du plaisir et de l'épanouissement personnel. Ben oui dans nos contrées c'est la devise favorite des gens : l'épanouissement personnel... ce qui tend à un égoïsme qui n'a plus rien de latent. C'est là où l'on sent toute la différence entre les pays développés qui travaillent pour s'offrir un maximum de plaisirs et les pays dits émergent où l'entraide est vitale pour s'en sortir. D'un côté tu as le chacun pour soi et de l'autre le chacun pour tous. Et les plus riches sont de loin les plus malheureux car plus on a, plus on en veut. Remarque qu'actuellement la tendance pourrait s'inverser car la crise a introduit une donne que l'on a oublié : les fins de mois difficiles. Et la famille dans tout ça ? Sincèrement, je ne sais plus trop où la situer dans tout ça. On fait des gosses mais on s'en débarrasse très vite en leur donnant un emploi du temps de "ministre" avec toutes ces activités alors qu'au fond, passer du temps avec les parents est aussi pour eux un plaisir (jusqu'à un certain âge). La famille passe après le travail, le plaisir me semble-t-il... mais je ne suis pas très objective en ce jugement, ma vie dans le milieu du travail est un peu particulière.
Zoroastre Nietsche (non je rigole ceci dit, je n'ai jamais réussi à lire complètement le ainsi parle... quelle barbe pour moi :D)
Cette devise me déprime au plus profond de moi.
RépondreSupprimerJe hais ce qu'elle sous-entend comme fiel vis à vis de l'autre.
J'abhorre la simple idée que l'on puisse faire référence à la notion de famille pour parler d'un repli sur soi.
J'exècre l'idée de travail élevant le citoyen au sein d'une patrie entourée de barbelés et de miradors.
En un mot comme en cent je purgerai bien la bouche de ceux qui l'utilisent encore avec une purée de piments bien croquants, craquants...
Pour ton allusion à Zoroastre (content que tu aies vu mon com sur le fil) j'aime le fait que Nietzsche disait, en parlant de son livre, qu'il était un cadeau des dieux qu'il laissait aux hommes. J'aime la simplicité de l'homme dont les idées et l'esprit critique m'emplissent encore du doux son de la musique de Strauss qui en est née et qui débute si merveilleusement 2001 l'Odyssée de l'Espace.
Enfin j’ai essayé de faire mienne sa phrase : « Nous voulons devenir des rêveurs éveillés et conscients »
Skelethor
Je n'ai malheureusement pas su accrocher à Nietsche. Peut être aurait-il fallu quelqu'un pour me donner les clés et n'ayant pas fait d'études, je ne les ai pas eu. Mais ta citation me plait bien. Je vais te faire part de la mienne qui vient d'un cheyenne John Stands In Timber (et ça n'est pas une plaisanterie) : "Mes amis, seules les pierres restent sur la terre éternellement. Faites de votre mieux". C'est ainsi que je fonctionne dans tout ce que je fais, je le fais de mon mieux et je m'y donne en entier en ayant conscience que c'est du vent.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le piment :D La notion de patrie te donne la nausée et pourtant que nous le voulions ou non, nous sommes conditionnés par cette notion. La patrie, l'état, les gouvernements tout ça c'est kif kif. Je suis originaire d'un pays qui a longtemps été muselé par les communistes et je sais le prix de la liberté de paroles. C'est pour cette liberté qu'il faut se battre, car sans elle les miradors et les barbelés, dont tu parlais, s'installent vite. Pas de liberté de pensée sans liberté de parole. Tous sur le même moule, tous dans le même giron, des machines à travailler en silence. Pol pot, au Cambodge, a vite compris que les pensants étaient un obstacle et qu'il fallait purger tout ceux qui pourraient réfléchir et faire obstacle à son idéologie. La répression, dont il a fait preuve, a mis l'homme au rang d'un animal domestique. Sans la liberté de parole, l'homme ne sait plus se défendre et rentre dans le rang. La peur fait son office et chacun se méfie de chacun. La seule liberté à protéger et pour laquelle il faut se battre, je me répète, est la liberté de paroles.
A la notion de patrie j'oppose lieu d'origine n'ayant pas pour vocation de devenir une prison.
SupprimerSi j'apprécie à sa juste valeur le fait d'être né en France je ne prends pas comme nécessité d'en accepter toute l'histoire et de devoir participer par obligation à son avenir.
La soit disant liberté de pensée que nous avons en France n'a de liberté que sa comparaison avec les régimes totalitaires dont tu parles.
Ce n'est pas pour cela que l'on doit se satisfaire d'une 37ème place pour la liberté de la Presse (Classement RSF 2013) car qui cherche à museler la Presse ne fait pas grand cas du droit à s’exprimer de sa population.
Mais effectivement il m’est plus facile qu’à d’autres de cultiver une certaine liberté de pensée car mon éducation m’a ouvert à savoir regarder ceux qui se disent puissant pour ce qu’ils sont : des hommes et femmes comme les autres.
J’ai refusé d’entrer dans un système mais au moins j’ai eu le choix contrairement à beaucoup d’autres et c’est le seul grand luxe dont j’accepte que l’on me taxe.
Nota : Je suis un fou du piment mais je sais tout autant faire des plats à la crème, au vin ou aux herbes et aromates divers. Même culinairement parlant je reste quelque peu extrémiste, mais là aussi j’aime découvrir des saveurs nouvelles et donc des ingrédients des plus exotiques tant en gout qu’en origine.
Skelethor