Where are you? => In Nobody Land

Vous ne trouverez en ce lieu que délires et idées sensées, à vous de faire le tri.
Croire que vous sortirez d’ici enrichis n’est pas une erreur hors matériellement parlant
Vous êtes dans un morceau d’éternité dédié à ce que nous sommes
: RIEN

Ici veut se reposer the Men at Work

Vous qui passez pour me voir
Ou
Peut être me dire bonsoir
Ou
Bonjour même le soir

Je me ferai un devoir
A
Répondre sans sursoir
A
Votre quête du Savoir

Qui suis-je?.........................................Moi
D'où vient le vent?.............................Ca dépend
Qui a-t-il après l'infini?.....................Rien
Qui a-t-il eu avant le Big Bang?.......Nous

dimanche 10 novembre 2024

Té ! Je vais vous en raconter une bien bonne :

 Il parait que demain c’est la fin du monde...

Tu parles d’une galéjade.

Il n’y a plus de saison, qu’On nous dit…

On nous parle de dérèglement climatique.

On pointe du doigt des phénomènes « naturels » de plus en plus destructeurs.

Et pour couronner le tout, les va-t-en-guerres sont de retour et de plus en plus actifs histoire de souffler sur les braises de rancœurs jamais éteintes aidés en cela par des IA sans états d’âmes qui orientent la pensée de celles et ceux qui les regardent selon leurs préférences inavouables détectées lors de leur navigation sur un Net qui l’est de moins en moins.

Et au milieu de tout ce brouhaha, les voix de plus en plus inaudibles de celles et ceux qui répètent que l’on va droit dans le mur ne savent plus si elles doivent se taire ou tout faire péter histoire d’abréger nos souffrances.

On achève bien les chevaux pourrait être les leitmotiv de ces lanceurs d’alertes dont les marathons pour faire changer les choses voient leur fin s’estomper de plus en plus dans la fumée des profiteurs du temps présent pour qui l’avenir est un mot abstrait et non un fait concret que l’on peut quantifier en espèces sonnantes et trébuchantes.

Et la nature me direz-vous ?

Et bien la nature elle attend que nous ayons disparu pour essayer une nouvelle expérience d’évolution des micro-organismes qu’elle garde en réserve.

Ceci bien entendu si On ne va pas jusqu’à la faire exploser en petits morceaux qui disperseront dans l’univers les dernières traces de la folie ayant gagnée une expérience ratée.


 

samedi 9 novembre 2024

En vérité je vous le dis : LE MONDE EST FOU

 Et je dis bien le monde, pas la planète.

Elle, elle nous a averti, mais nous avons regardé ailleurs.

Elle a eu quelques soubresauts, mais nous avons baissé la tête dans les épaules.

Elle a détruit des éléments de décors que nous avions construit, mais nous avons fermé les yeux.

Elle a laissé sa nature profonde se montrer au grand jour par des soubresauts que nous nous sommes contentés d’étudier.

Et certains s’étonnent à présent « d’évènements » de plus en plus destructeurs ; mais nous nous contentons d’augmenter les assurances « risques naturels » alors qu’ils le sont de moins en moins car découlant de notre inaction à corriger nos modes de vie consuméristes.

Notre égoïsme nous fait nous apitoyer sur le présent sans penser au lendemain.

Nos décisions à court terme face à des vagues successives masquent à nos yeux le tsunami qui se préparent.

La folie gagne un monde qui ne se rend pas compte que le sol sur lequel il marche est le seul existant à des lieux à la ronde.

Existe-t-il une solution ?

Oui, je le pense.

Mais tant que l’appât du gain ou de la puissance (et pire, les deux) l’emportera sur le désir de vivre, la descente aux enfers s’accélèrera jusqu’à ce que la pente soit trop forte pour être remontée et alors il en sera de nos espoirs et de nos rêves comme de notre planète avec la fin d’un cycle qui a vu l’humanité évoluer jusqu’à ne plus trouver que dans l’autodestruction une ultime marche l’éloignant à jamais de l’humanisme.


 

mercredi 24 avril 2024

JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!!!!

 

Petit florilège de phrases pouvant accompagner une carte de vœux

Après 364 « Joyeux Non-Anniversaire » voici venir le jour de te souhaiter un « Joyeux Anniversaire » tout simplement et rien qu’à toi n’en déplaise au chapelier fou.

« C’est pas con ! » selon Perceval et Karadoc

Et comme tout ce qui est rare c’est « précieux » comme aime à le rappeler Gollum, donc profites-en bien.

Si l’on omet de préciser que cela nous affuble d’un an de plus, sachons nous rappeler les adages de nos grands-mères : « Tant qu’on a la santé… » et si ce n’est pas le cas : « Tant qu’il y a de la vie… »

N’oublions pas de préciser à notre entourage, tout comme se plait à le répéter Schwarzy : « I will be back ! » afin qu’il commence à réfléchir à nous faire plaisir dans un an.

Et un balai de plus pourrait-on dire s’il nous prenait l’envie de dépoussiérer notre mémoire de tout le fatras de mauvais souvenirs l’encombrant et nous obstruant l’accès aux jours heureux passés et à venir.

Un an de plus, pffff ! Qu’est-ce donc qu’un an de plus ? A partir d’un certain âge, c’est comme un petit caillou que l’on ramasse de plus en plus difficilement et qui vient s’ajouter à tous les autres qui pèsent déjà sur notre dos. Mais bon, tant que l’on arrive à se relever et à avancer, ça va.

Enfin, et surtout, évitons de dire, tout comme le Schtroumf grognon : « J’aime pas les anniversaires », mais plutôt comme le même Schtroumf : « Moi j’aime pas les j’aime pas »

En résumé et surtout : BON ANNIVERSAIRE !



jeudi 29 février 2024

Happy Birthday to me !

 

Tain, mon avatar n’arrête pas depuis ce matin de se la péter parce qu’il est enfin majeur.

Il est vrai qu’en gagnant un an tous les quatre ans, cela prend du temps...

Avant de devenir vieux il faudra bien compter la vie des morts dirait ma copine qui est taquine sur le sujet.

Mais bon n’est-elle pô belle la vie de ce jeune veux qui aura cependant certainement plus de mal pour fêter ses 2x18 ans hors grands progrès de la médecine les prochaines années.

Ce n’est pas tout cela, maintenant il va falloir atteindre la prochaine étape : 21 balais

Va pas être simple, moi je vous le dit ; je trouve que ma copine semble de plus en plus attentionnée depuis quelques temps.

Mais bon demain est un autre jour et quoi que l’on fasse il nous faut les traverser l’un après l’autre, ou au moins essayer.



dimanche 1 octobre 2023

It's a long way

 Bon, ben voilà, ça y est, j’entame une nouvelle décennie.

Ce n’est pas tant son contenu que son contenant qui m’interpelle car je n’ai jamais aimé le chiffre qui la caractérise.

Songer que je me rapproche du moment où je ressemblerai à mon avatar, hors sa démarche chaloupée et sa propension à danser, ne m’obsède pas.

Il faut une fin à tout n’est-ce pas ?

Tant que j’arrive à la décennie suivante dans un état ne nécessitant aucune aide extérieure, cela me va.

Tout ce que je crains c’est les possibles aléas et chausse-trappes qui pourrait parsemer cette étape de ma vie.

Jusque-là, ça va ! Ainsi vont, je l’espère, débuter les jours à venir, avec cependant un petit coup d’œil sur la portion visible de chemin à venir. Un peu comme dans un jeu vidéo où l’on sait que le monde qui nous entoure ne nous veut pas que du bien mais où le simple fait de pouvoir le contempler est déjà bien sympa.

Ce qui m’interpelle également est l’état de notre pauvre planète à la fin de cette décennie en voyant tout le mal qu’on lui a causé dans la précédente. L’image de ce bucheron sciant la branche où il se trouve me hante de plus en plus et mes textes « La nuit vient » et « Fin » me paraissent malheureusement de plus en plus d’actualité.

Qu’il est donc difficile de tracer sa route sereinement quand un monde habitable nous entourant se rétrécit de plus en plus à l’intérieur des hauts murs que nos dirigeants érigent pour le bien du peuple.

Bon ben, ce n’est pas tout cela, j’en étais où ? Ah oui, j’avance le pied droit, je regarde devant et je me prépare à avancer le pied gauche…



vendredi 30 décembre 2022

Réflexions

Plus une denrée devient rare, plus les prix au détail augmentent avec des profits qui explosent puisque les surcoûts sont répercutés et les marges recalculées et ceci malgré le cinéma que l’on nous fait sur ces « pauvres » industriels et chaines de distribution qui rognent soi-disant sur leurs marges ; donc quel intérêt auraient les industriels de tous bords d’augmenter la production (et donc de devoir embaucher, voire construire de nouveaux sites). Il est plus rentable de faire tourner en rond un supertanker, venant de pays producteurs à bas coût, dans l’océan que de devoir en affréter un autre pour mettre à disposition plus de produit. Le tout étant de trouver le bon équilibre entre un profit maximal et la perte de part de marchés. Le consommateur dans tout cela ne pèse pas lourd.

De toute façon le « consommateur » ne songe lui, qu’au fait qu’il ne va plus pouvoir « consommer » pas cher.

La guerre a bon dos.

*C’est fou le nombre de produits dont nous nous sommes découverts dépendants de l’Ukraine et de la Russie.

*La famine ravage de plus en plus les pays « en voie de développement » ?

C’est la faute à la guerre s’empressent de dire les pays qui ont imposé leur diktat en empêchant de continuer à exploiter les cultures vivrières afin de faire cultiver de quoi exporter vers des pays dits « développés » le tout sous couvert d’un FMI plus enclin à calculer les profits qu’à aider à l’auto développement et encore moins à l’autosuffisance.

*A se demander quelle est la guerre qui fait le plus de ravages.

Je me pose la question : Donner de l’argent à un pays en guerre afin qu’il nous achète des armes ne ressemble-t-il pas beaucoup au fait de subventionner les industries d’armement ? Je dis cela, je dis rien, car cela a en plus un autre effet bénéfique qui est de pouvoir tester en conditions réelles les nouveaux modèles sans avoir à finaliser tous les essais avant livraison. Lé pô belle la vie ? (La mort aussi ? Oui, mais du coup pas chez nous.)

On ne parle plus que de cela : Réchauffement climatique ; mais que fait-on vraiment ? En tout cas rien qui risque d’amoindrir les profits à courts termes.

Demain étant un autre jour comme dit la sagesse populaire.

 


Au fait si vous recherchez des costumes comme le mien, ne vous inquiétez pas ils vous seront bientôt fournis gratuitement.



lundi 9 mai 2022

J’avance !


J’avance, sur le petit chemin tortueux qui se fraye un passage au milieu de mes idées noires.

Tel Alice je ne dois pas m’en écarter sous peine de me perdre.

 

J’avance, pas à pas sans me retourner.

Je mets mécaniquement un pied devant l’autre sachant que c’est la bonne solution

 

J’avance, et peu à peu le brouillard oppressant qui m’entoure s’estompe.

La lumière augmente en même temps que ma confiance

 

J’avance, et l’espoir renait.

Est-il donc possible de croire en la fin de ce maudit cloaque ?

 

J’avance, quittant le silence et guidé par ces voix me disant que je ne suis pas seul.

Il existe donc encore ce monde que je croyais perdu.

 

J’avance, et m’éloigne de ce qui constituait ma vie.

Il n’y a rien qui me retient dans ce cocon que je me suis créé mais qui s’est révélé un carcan.

 

J’avance, ayant perdu une à une les pièces d’une armure qui m’étouffaient à présent.

Dieu, que j’ai aimé le bruit du métal heurtant le sol inégal avec un son changeant.

 

J’avance, offrant mon torse nu à toute brise bienvenue.

La caresse d’un zéphir réveillant des sensations oubliées.


J’avance, mon cœur s’emplissant d’un nouvel espoir.

Et si ? Non ! Je ne veux pas penser à un : mais si ?

 

Je ne connais pas ma destination mais j’avance