Il parait que demain c’est la fin du monde...
Tu parles d’une galéjade.
Il n’y a plus de saison, qu’On nous dit…
On nous parle de dérèglement climatique.
On pointe du doigt des phénomènes « naturels » de plus en plus destructeurs.
Et pour couronner le tout, les va-t-en-guerres sont de retour et de plus en plus actifs histoire de souffler sur les braises de rancœurs jamais éteintes aidés en cela par des IA sans états d’âmes qui orientent la pensée de celles et ceux qui les regardent selon leurs préférences inavouables détectées lors de leur navigation sur un Net qui l’est de moins en moins.
Et au milieu de tout ce brouhaha, les voix de plus en plus inaudibles de celles et ceux qui répètent que l’on va droit dans le mur ne savent plus si elles doivent se taire ou tout faire péter histoire d’abréger nos souffrances.
On achève bien les chevaux pourrait être les leitmotiv de ces lanceurs d’alertes dont les marathons pour faire changer les choses voient leur fin s’estomper de plus en plus dans la fumée des profiteurs du temps présent pour qui l’avenir est un mot abstrait et non un fait concret que l’on peut quantifier en espèces sonnantes et trébuchantes.
Et la nature me direz-vous ?
Et bien la nature elle attend que nous ayons disparu pour essayer une nouvelle expérience d’évolution des micro-organismes qu’elle garde en réserve.
Ceci bien entendu si On ne va pas jusqu’à la faire exploser en petits morceaux qui disperseront dans l’univers les dernières traces de la folie ayant gagnée une expérience ratée.