Where are you? => In Nobody Land

Vous ne trouverez en ce lieu que délires et idées sensées, à vous de faire le tri.
Croire que vous sortirez d’ici enrichis n’est pas une erreur hors matériellement parlant
Vous êtes dans un morceau d’éternité dédié à ce que nous sommes
: RIEN

Ici veut se reposer the Men at Work

Vous qui passez pour me voir
Ou
Peut être me dire bonsoir
Ou
Bonjour même le soir

Je me ferai un devoir
A
Répondre sans sursoir
A
Votre quête du Savoir

Qui suis-je?.........................................Moi
D'où vient le vent?.............................Ca dépend
Qui a-t-il après l'infini?.....................Rien
Qui a-t-il eu avant le Big Bang?.......Nous

mercredi 24 février 2021

Pensées

 

-        Je n’aime pas les araignées, mais croyez-vous que les araignées m’aiment ?

-        Notre époque fait que l’on ne prend plus le temps de vivre, cela veut-il dire que l’on va mourir plus vite ?

-        Peut-on croire que croire aide à croire que l’on existe ?

-        Je trouve « marrant » qu’alors que 100 000 policiers n’y sont pas arrivés, il a suffi d’un truc minuscule pour bâillonner les gilets jaunes. Je suis sûr que certains en ont bien pris note.

-        J’ai peur de me projeter dans le monde d’après qui risque de n’être qu'un autre monde d’avant.

-        Il faut actuellement être très imaginatif pour se voir prochainement assis à une terrasse avec des amis en train de boire un verre.

-        Finalement les gens atteins d’Alzheimer ont bien de la chance car bientôt ils ne se rappelleront plus le monde « d’avant »

-        Est-il plus dangereux de se promener en forêts qui pullulent de plus en plus de cochons sauvages que de se promener dans certains quartiers vu la prolifération de cochons dits « civilisés » ?

-        Les temps changent : avant j’aimais écouter le son du vent dans les arbres ; à présent j’écoute le bruit du ventilateur de mon ordinateur.

 

Croyez-vous que le fait de trop penser nous empêche d’agir ?



7 commentaires:

  1. avant j’aimais écouter le son du vent dans les arbres ; à présent j’écoute le bruit du ventilateur de mon ordinateur.
    Mais qu'est-ce qui t'empêche aujourd'hui d'écouter le chant du vent ? Au contraire, à l'inverse de toi, je crois qu'il est vital, essentiel pour notre équilibre de retrouver le contact avec les choses naturelles. Retrouver du plaisir à écouter le vent, le bruit de l'eau, le chant des oiseaux, les cris de la vie. Retrouver le plaisir à regarder la lumière du soleil, la beauté et la diversité des nuages, la petite araignée qui file sa toile (et toc :D ), regarder vivre la nature. Retrouver le plaisir de sentir le parfum de la nature au fil des saisons, de ressentir l'aspect rugueux d'un arbre, d'une feuille. L'essentiel est dans les choses simples. S'asseoir, et se laisser gagner par l'environnement dans un coin de verdure que l'on trouve même en ville. C'est possible et c'est une forme de méditation. C'est un pas vers la sérénité.
    Demain... on a bien le temps de voir si on y arrive. C'est Etre qui compte, être maintenant.
    Se concentrer sur les choses qu'on gère et ne pas édifier sur les choses qu'on ne maîtrise pas.
    Quant au virus, ils ont toujours fait parti de notre environnement et en feront toujours parti. Ce qui se passe, n'est pas une surprise. C'est dans l'ordre des choses. Après lui un autre. Alors en attendant vivons, respirons, sentons, touchons, aimons.
    Allez Nonoss, hauts les coeurs et modifie le fil de tes pensées en te concentrant sur le plaisir de ce qui est saisissable. La nature, on n'a jamais rien inventé de mieux.

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  2. Ouaip!
    Mais se balader seul dans la nature est beaucoup moins agréable que de la faire avec un groupe de marcheurs associatifs cloitrés plus ou moins chez eux comme moi (association fermée)
    Je le faisais quand je travaillais pour me changer les idées de tout le monde que je côtoyais, ce n'est plus le cas à présent...
    Donc, pas cool!

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  3. Marrant, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de marcher avec des marcheurs associatifs. Je marche seule avec mon appareil photo. Je m'arrête devant une petite araignée ou un insecte. Je m'assieds au pied d'un arbre et j'écoute. Le blabla d'un groupe d'humain me gâcherait ce moment plaisir et bonheur et ça ce serait pas cool. J'ai juste l'impression de retrouver l'essentiel.

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  4. Avant, moi aussi; à présent cette présence accompagnée de discussions sur tout et sur rien est devenu un besoin.
    Le tissus associatif, à la retraite, est un espèce de cocon bienvenu quand on est seul.

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    1. A l'aube de mes 60 ans, je m'éloigne de plus en plus du monde des vivants. La solitude est ma compagne depuis si longtemps que j'ai l'impression d'avoir de moins en moins le goût des autres.
      Il me reste néanmoins des e-amis avec qui j'ai plaisir de discuter et qui sont devenus de vrais amis de coeur. Ils sont peu nombreux mais ils sont là.

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