On parle toujours de
la Vie,
Mais jamais on ne
parle de la Mort,
La Mort qui pourtant
nous sourit
A chaque instant et
attend notre corps.
Notre corps qu’il
faudra bien lui abandonner,
Car nous ne pourrons
pas toujours le conserver.
Il y a une fin à
tout, aux choses heureuses comme à la vie
Elle existe pour
tous, ne favorise personne, n’a pas d’amis.
Certains la
craignent et n’osent y penser,
Ce sont des lâches
qui se mentent à eux-mêmes ;
D’autres se
plaignent de voir le temps passer,
Ce sont des
égoïstes, des rêveurs, des poètes même.
Mais rares sont ceux
qui osent la regarder en face,
Et l’attendent sans
s’en faire, en restant de glace ;
Ce sont eux pourtant
qui profitent au mieux et à l’envie,
Car ils n’ont pas en
eux cette crainte de la fin de la vie.
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