Le cafard, bête méchante et sournoise
S’attaque toujours aux gens faibles,
innocents,
Qui ne savent résister quand il les
toise
Ou les minent par l’intérieur et les
prend.
Rares sont ceux qui savent le rejeter,
Il sait trouver les mots qui servent ses
desseins.
Pour s’en soigner il n’existe nul
médecin
Qui sache par quel moyen contre lui
lutter.
Toi qui te sais faible, qui souvent
succombe
A son pouvoir et qui à chaque fois en
pleure,
Sache que tu auras toujours une âme sœur
Qui saura de tes chagrins être la tombe.
Confie-toi à elle, confie-lui tes
ennuis,
Tu te sentiras alors mieux, délivré.
Elle saura te réconforter toutes ces
nuits
Qui pour toi semblent être des
éternités.
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